Gestion des déchets plastiques selon les principes de la circularité en Côte d’Ivoire

Développement urbain durable intégré d'Abidjan

Aujourd’hui, l’un des plus grands défis pour la population est la lutte contre les déchets plastiques qui ne cessent d’augmenter et qui représentent l’un des principaux symboles de l’économie dite « linéaire », synonyme de gaspillage. Il est donc apparu nécessaire de remplacer cette situation par des principes d’économie circulaire afin de préserver l’environnement et la biodiversité qui souffrent fortement de ces déchets.

Cela passe notamment par le renforcement du cadre institutionnel et réglementaire, la sensibilisation, formation et information, et la création d’emplois verts.

Promouvoir la production industrielle durable dans le secteur agroalimentaire par l’utilisation d’applications d’énergies renouvelables et de technologies à faible émission de carbone

L’objectif de ce projet est de mettre en place, à travers un partenariat public-privé, un site pilote de production d’énergie renouvelable grâce aux déchets de la transformation de manioc. En effet, le manioc est la deuxième culture vivrière en Côte d’Ivoire, le plus souvent cultivée sur brûlis et transformée en attiéké en utilisant de l’énergie non-renouvelable. Ces modes de production ont un impact négatif sur l’environnement et augmentent l’effet de serre. Il s’agit donc d’exploiter le potentiel bioénergétique du manioc.

Gestion rationnelle des polluants organiques persistants non intentionnels (POP) et des polychlorobiphényles (PBDE) pour  polychlorés (PBDE) afin de réduire leurs émissions provenant du secteur des déchets industriels

Développement urbain durable intégré d'Abidjan

Ce projet a pour objectif d’apporter des solutions spécifiques à l’émission des POP et PBDE, composés chimiques toxiques issus des matériaux plastiques contenus dans les véhicules de fin de vie ou provenant du brûlage à ciel ouvert des déchets électriques et électroniques.

À travers ce projet, l’objectif est de mettre en place un cadre réglementaire et institutionnel adapté à la gestion environnementale de ces déchets et de renforcer les capacités techniques des acteurs du secteur du recyclage des déchets électriques et électroniques et des véhicules en fin de vie.

Protocole de Montréal : CFC et HCF Plans de gestion d’élimination progressive (phase I)

Développement urbain durable intégré d'Abidjan

Dans le cadre du Protocole de Montréal, auquel elle a adhéré en 1992, la Côte d’Ivoire s’est engagée à mettre un terme aux importations de chlorofluorocarbones (CFC) dans le but de contribuer à la préservation de la couche d’ozone.

L’ONUDI accompagne le pays dans la modernisation des procédés et des produits industriels afin de réduire progressivement les CFC.

Dans le cadre de la phase 1 de ce projet, un Centre d’Excellence a été créé à Koumassi (centre pilote), au sein du centre de perfectionnement aux métiers de la mécanique et de l’électricité. Au sein de ce Centre, il est prévu de mettre en place des formations à destination des techniciens frigoristes et des agents de douanes afin de les former respectivement aux bonnes pratiques en matière de réfrigération (récupération et le recyclage des chlorofluorocarbones) et à une bonne vérification des dispositions réglementaires relatives aux CFC.

Visite de travail du Ministre de l’Enseignement technique, de la Formation professionnelle et de l’Apprentissage au bureau de l’ONUDI Abidjan.

Le mercredi 27 avril 2022, le Ministre de l’Enseignement Technique, de la Formation Professionnelle et de l’Apprentissage M. Koffi N’Guessan était dans les locaux de l’ONUDI Abidjan.

L’objectif de cette rencontre avec le Représentant de l’ONUDI en Côte d’Ivoire, M. Tidiane Boye, portait sur la mise en œuvre de la deuxième phase du Projet Ozone qui verra la mise en place de deux (2) nouveaux Centres d’Excellence en Froid et Climatisation dans les lycées professionnels de Daoukro et San-Pedro, et l’extension de la capacité du Centre d’Excellence en Froid et Climatisation de Koumassi à travers la construction d’un nouveau bâtiment.

Pour rappel, le Projet Ozone, démarré en janvier 2014, sur financement du FEM avec l’ONUDI comme Agence d’Exécution   a pour objectif de protéger la couche d’Ozone par l’élimination complète de la consommation des substances qui l’appauvrissent. La phase 1 du Projet a permis la création d’un premier Centre d’Excellence en Froid et Climatisation au sein du Centre de Perfectionnement des Métiers de la Mécanique et de l’Electricité (CPMME) de Koumassi.

Le Projet Gestion Rationnelle des polluants organiques Persistants non intentionnels (POPNI) et des diphényles éthers polybromés (PBDE) pour réduire les émissions du secteur des déchets industriels (UPOPCI) renforce les capacités des travailleurs de la casse de Marcory

L’Organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel (ONUDI) met en œuvre, en collaboration avec le Gouvernement de Côte d’Ivoire et le Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM), le Projet intitulé : « Gestion Rationnelle des polluants organiques Persistants non intentionnels (POPNI) et des diphényles éthers polybromés (PBDE) pour réduire les émissions du secteur des déchets industriels » (UPOPCI).

Le projet UPOPCI a pour objectif d’apporter des solutions spécifiques à l’émission des PBDE et des dioxines et furanes, composés chimiques toxiques issus des matériaux plastiques contenus dans des véhicules de fin de vie et du brûlage à ciel ouvert des déchets électroniques.

Le projet ambitionne de mettre en place un cadre réglementaire et institutionnel adapté à la gestion environnementale de ces déchets et de renforcer les capacités techniques des acteurs du secteur du recyclage des déchets électroniques et des véhicules en fin de vie. 

C’est dans cette optique que, ce mardi 02 mars 2021, un atelier de sensibilisation des travailleurs de la casse de Marcory Anoumambo, aux risques pour la santé humaine et la protection de l’environnement a été organisé. Les participants au nombre de soixante (60) personnes représentaient les métiers du secteur du recyclage des déchets électroniques et de véhicules en fin de vie.  

Projet Ozone phase 2 réunion du Groupe de Travail

Projet Ozone phase 2 mise en place d'un Groupe de Travail

Ce jeudi 30 septembre 2021 a eu lieu au Bureau de l’ONUDI à Abidjan, en présence du Représentant de l’ONUDI  M. Tidiane Boye, la première réunion du Groupe de Travail Conjoint sur le projet Ozone (Ministère de l’Environnement et du Développement Durable et Ministère de l’Enseignement Technique, de la Formation Professionnelle et de l’Apprentissage).

Projet Ozone phase 2 mise en place d'un Groupe de Travail

 Ce Groupe devra rédiger la nouvelle convention de partenariat entre les deux ministères et l’ONUDI, dans le cadre de la mise en œuvre de la deuxième phase du Projet de Gestion de l’Élimination des Hydrochlorofluorocarbones (HCFC) connu sous le nom de « projet Ozone ».

 A l’issu de cette seconde phase du  projet,  deux (2) nouveaux Centres de Formation d’Excellence à  San-Pedro et à Daoukro viendront s’ajouter au centre d’excellence sur le froid et la climatisation logé au sein du Centre de Perfectionnement des Métiers de la Mécanique et de l’Electricité (CPMME) de Koumassi mis en place au cours de la première phase.

50 ème anniversaire de l’ONUDI

La coopération entre la Côte d’Ivoire et l’ONUDI en détails à l’ occasion du  50ème  anniversaire de l’ONUDI

Depuis que l’Organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel (ONUDI) a été créé il y a 50 ans, elle a accompagné l’Afrique et l’a soutenu dans sa lutte contre la pauvreté et son rêve de prospérité.

Depuis 1976, l’ONUDI s’est engagée aux côtés des autorités de la Côte d’Ivoire pour promouvoir l’accélération de la croissance industrielle durable du pays. Elle œuvre également à l’amélioration des conditions de vie des populations ivoiriennes, en mobilisant ses ressources et ses compétences internationales.

L’ONUDI accompagne le gouvernement ivoirien dans la mise en œuvre de sa politique industrielle, le développement du secteur privé, la relance de la formation professionnelle, l’emploi des jeunes et des femmes ainsi que le développement des énergies renouvelables et la préservation de l’environnement.

A partir de 1996, l’ONUDI a fortement intensifié sa coopération technique avec la conception et l’organisation du lancement officiel de l’initiative africaine « Alliance pour l’Industrialisation de l’Afrique » (AIA). C’est aussi à la fin de 1996 que l’ONUDI et la Côte d’Ivoire ont entamé le Schéma Directeur d’Industrialisation (SDI) de la Côte d’Ivoire, dont l’exécution avait aussitôt démarré début 1997.

Tout au long de la période difficile déclenchée par le conflit armé du 19 septembre 2002, l’ONUDI a continué à apporter une assistance technique aux populations. Dans l’attente d’une sortie rapide de crise et à la demande du Gouvernement, l’ONUDI avait réorienté ses interventions vers un Programme Post-Crise d’urgence (PPC) et de relance des activités du secteur productif industriel. Le but était d’appuyer certaines activités du secteur productif de manière à empêcher la détérioration de l’économie et à soutenir des créneaux générateurs d’emplois et de revenus pour les populations les plus défavorisées, notamment les femmes et les jeunes. Par exemple, en 2012 un programme a été implémenté visant à développer les compétences des jeunes. Suite à cette initiative, plus de 4000 jeunes ont reçu un certificat d’acquis de compétences, en ligne avec la demande du marché du travail.

Suite à la conclusion de l’Accord Politique de Ouagadougou, le Ministère de l’Industrie a contacté l’ONUDI pour une assistance technique pour l’élaboration d’un «plan national d’industrialisation», intégrant une politique nationale de promotion des Petites et Moyennes Entreprises (PME) et du secteur privé. L’objectif était la préparation d’un plan stratégique à grande échelle, qui définirait les lignes de la politique industrielle à partir de l’analyse du secteur industriel dans toutes ses perspectives de développement économique, politique, sociale, technologique, et commerciale. L’ONUDI a répondu par une convention de financement et par la mise en œuvre du Programme de la Nouvelle Politique Industrielle pour la Côte d’Ivoire. Il s’agit ici d’une politique prioritaire dans le contexte apaisé de l’après-crise et de renaissance économique de la Côte d’Ivoire, susceptible d’accompagner la mise en œuvre effective du premier Plan National de Développement (PND 2012-2015).

Sur le plan opérationnel, l’ONUDI apporte son appui au secteur privé, contribuant ainsi  au renforcement de la compétitivité de l’économie ivoirienne de manière à faciliter son insertion dans l’économie régionale et mondiale. L’Organisation est également engagée dans la mise à niveau et l’appui à la démarche qualité des industries ivoiriennes, afin de favoriser l’exportation des produits « Made in Côte d’Ivoire » à l’échelle régionale et internationale. Cela implique le développement de consortiums d’exportation, le renforcement des institutions de contrôle et la conception et mise en œuvre d’un programme national de mise-à-niveau et restructuration des entreprises ivoiriennes.

L’un des défis à relever est celui de l’emploi, surtout des jeunes et des femmes, et de l’insertion des populations vulnérables dans le système productif. A cet effet, l’ONUDI a développé en Côte d’Ivoire un dispositif d’appui à l’insertion des jeunes qui combine la formation professionnelle, l’entrepreneuriat, l’auto-emploi et la création d’activités génératrices de revenus. Ceci est fait par un mécanisme qui allie stages/formations et accès au financement de micros projets à forte valeur ajoutée, rendu possible par la mise en place d’un fonds d’appui à l’entrepreneuriat des jeunes. L’ONUDI appuie également la réforme du système national de formation professionnelle en vue de mieux assurer la convenance entre la formation et les besoins du secteur privé.

La maitrise de la sécurité énergétique constitue pour l’Afrique, et particulièrement pour la Côte d’Ivoire, à l’horizon 2030, un défi majeur. La réponse de l’ONUDI à ce défi est son engagement aux côtés des autorités ivoiriennes à développer de nouvelles sources d’énergies renouvelables. L’organisation travaille ainsi à la mise en place de systèmes mini-hydro-électriques, photovoltaïques et de la biomasse pour contribuer à satisfaire les besoins toujours croissants d’accès des populations à l’électricité dans les zones péri-urbaines et rurales. Parallèlement, dans le cadre du Protocole de Montréal, l’ONUDI apporte son expérience  pour la décontamination des centrales thermiques, des générateurs d’énergie électrique, des équipements de réfrigération et des polluants chlorofluorocarbones (CFC).

Aujourd’hui, le Gouvernement ivoirien s’est fixé comme objectif de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020, avec l’adoption d’un nouveau Plan National de Développement (PND 2016-2020). Ce nouveau plan prévoit une transformation structurelle de l’économie ivoirienne en faveur de l’industrialisation, la valeur ajoutée, la création d’emplois et le développement inclusif. Les nouveaux programmes de coopération technique de l’ONUDI soutiennent cette nouvelle stratégie du Gouvernement. Ces programmes visent surtout à renforcer le lien production-transformation afin de créer plus de valeur ajoutée et des emplois décents, durables et en grand nombre en faveur des jeunes et des femmes.

UNIDO 50th anniversary

Cooperation between the Ivory Coast and UNIDO on the occasion of the 50th anniversary of UNIDO

Since the United Nations Industrial Development Organization (UNIDO) was established 50 years ago, it has accompanied Africa and supported in its fight against poverty and in its dream of prosperity.

Since 1976, alongside the Côte d’Ivoire authorities, UNIDO has undertaken to promote the acceleration of the country’s sustainable industrial growth. It also mobilizes its global resources and expertise to improve the living conditions of the Ivorian people.

UNIDO supports the Ivorian government in the implementation of its industrial policy, developing the private sector development, reviving vocational training, generating employment for youth and women developing renewable energies and preserving the environment.

Since 1996, UNIDO has greatly intensified its technical cooperation with the design and organization of the official launch of the African initiative, the Alliance for the Industrialization of Africa. It was also at the end of 1996 that UNIDO and the Ivory Coast begun the Master Plan for Industrialization, which began to be executed in early 1997.

Throughout the difficult period triggered by the armed conflict of 19 September 2002, UNIDO has continued to provide technical assistance to the population. Pending a quick exit from the crisis and at the request of the Government, UNIDO redirected its activities to an emergency Post-Crisis Programme (CPP) and the relaunch of industrial production sector activities. The aim was to support some productive sector activities in order to prevent the deterioration of the economy and support employment and revenue-generating opportunities for the most disadvantaged populations, particularly women and youth. For example, in 2012 a programme was implemented to develop the skills of young people. Following this initiative, more than 4,000 young people received certificates of acquired skills, in line with the demands of the labour market.

Following the conclusion of the Ouagadougou Political Agreement, the Ministry of Industry contacted UNIDO for technical assistance for the development of a national industrialization plan, including a national policy of promoting small and medium-sized enterprises (SMEs) and the private sector. The goal was the preparation of a strategic plan on a large scale, which would define the lines of industrial policy based on an analysis of the industrial sector in all its economic, political, social, technological, and commercial prospects. UNIDO responded with a financing agreement and the implementation of the New Industrial Policy Programme for the Ivory Coast. This is a political priority in the context of the post-crisis and economic revival of the Ivory Coast in the context of the effective implementation of the first National Development Plan (2012- 2015).

Operationally, UNIDO is supporting the private sector, thus contributing to strengthening the competitiveness of the Ivorian economy through its integration into the regional and global economy. The Organization is also engaged in upgrading and supporting Ivorian industries’ quality approach in order to promote « Made in Ivory Coast » exports both regionally and internationally. This involves the development of export consortia, the strengthening of audit institutions and the design and implementation of a national programme at the level of restructuring of Ivorian firms.

One of the challenges is employment, especially of youth and women, and the inclusion of vulnerable populations in the productive system. To this end, UNIDO has developed a support device to integrate young people, which combines vocational training, entrepreneurship, self-employment and the creation of income-generating activities. This is done through a mechanism that combines courses/training and access to finance for micro projects with high added value made possible by the establishment of a fund to support youth entrepreneurship. UNIDO also supports reform of the national vocational training system to better ensure synergies between training and the private sector’s needs.

For Africa, and especially for the Ivory Coast, achieving energy security by 2030 is a major challenge. UNIDO’s response to this challenge is its commitment to the Ivorian authorities to develop new sources of renewable energy. The organization is working on the development of mini-hydro, photovoltaic and biomass power systems to help meet the growing population’s need to access electricity in peri-urban and rural areas. Meanwhile, under the Montreal Protocol, UNIDO brings its experience to bear in the decontamination of chlorofluorocarbon pollutants (CFCs) from power plants, electricity generators, refrigeration equipment.

Today, the Government has set a goal of making the Ivory Coast an emerging country by 2020 with the adoption of a new National Development Plan (NDP 2016-2020). The new plan provides for a structural transformation of the Ivorian economy towards industrialization, value addition, job creation and inclusive development. The new UNIDO’s technical cooperation programmes support the Government’s new strategy. These programmes focus on strengthening the production-processing link to create more added value and decent sustainable jobs in large numbers for youth and women.

Mini-réseaux énergie renouvelable

energie renouvelable

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La production de l’électricité en Côte d’Ivoire est assurée par six barrages hydroélectriques, trois centrales thermiques et une centrale thermique d’appoint en location (AGGREKO). En 2010, la production totale d’énergie du pays était estimée à 5,883 GWh dont 27,5% d’origine hydraulique et 72,5% origine thermique. La forte dépendance de la production nationale au thermique fragilise le système électrique compte tenu des coûts élevés de production liés à cette technologie et des difficultés d’approvisionnement en gaz naturel. De plus, au regard du taux de croissance annuel de la consommation nationale qui est d’environ 8%, le système électrique ivoirien n’offre qu’un équilibre offre/demande précaire. Le pays n’est pas à l’abri des déficits énergétiques, si rien n’est fait pour accroitre sa capacité de production. La gestion du secteur reste confrontée à un réel déséquilibre financier et des conflits de compétence. Sur l’ensemble du territoire, plus de 75% des ménages n’ont pas accès à un abonne­ment électrique en raison du coût élevé de l’électricité et des difficultés d’accès géographiques à cette source d’énergie. Seulement 33% des localités ivoiriennes sont électrifiées avec un taux d’électrification des zones rurales très faible.
Ainsi, à côté de la fourniture en électricité par les centrales hydro-électriques et thermiques, se développent les Energies Nouvelles et Renouvelables telles que le solaire, la biomasse, l’éolienne et la micro hydraulique. Cependant, le développement de ce secteur fait face à de nombreuses contraintes :

  • Faiblesse du cadre légal et réglementaire
  • Manque de mécanisme financier
  • Manque d’informations sur la disponibilité des sources d’énergie renouvelable
  • Manque de capacités techniques au niveau local.

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Sur financement du Fonds Mondial de l’Environnement, l’ONUDI, en partenariat avec le Ministère du Pétrole, des Mines et de l’énergie, contribue à la réduction des barrières institutionnelles, techniques et financières limitant l’établissement d’un environnement de marché à même d’attirer de nouveaux investissements notamment privés dans le secteur des énergies renouvelables à base de mini-réseaux

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en milieu rural. Le projet vise à promouvoir l’énergie solaire photovoltaïque (PV) à base de mini-réseaux afin d’accroitre le taux d’accès à électricité des ménages ruraux et péri-urbains et le remplacement des énergies fossiles. Le projet est mis en œuvre à travers une approche intégrée qui combine renforcement des capacités et « learning-by-doing » soutenue par une assistance technique d’appui au niveau central en vue de créer un cadre légal et règlementaire pour le développement du secteur des énergies renouvelables. Cette stratégie suit trois axes:

  • Mise en place de mécanisme financier et de politiques axées sur le marché
  • Investissement pilote dans des mini-réseaux photovoltaïques et validation du mécanisme financier
  • Création d’une masse critique locale de savoir faire technique.

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  • 17 personnes issues du secteur public et privé formés
  • Conception d’un mécanisme financier basé sur le Partenariat Public-Privé
  • Publication d’un document de bonnes pratiques en matière d’énergie renouvelable
  • Mise en place d’un portefeuille de 7 projets PV à base mini-réseaux d’une capacité de 350 kW
  • 1,750 connections éclectiques en 2014 pour la consommation domestique et les petits commerces locaux
  • 8, 700 personnes servies en électricité en 2013.

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Le projet contribuera à  promouvoir un développement économique, accroitre le taux d’accès des ménages ruraux pauvres à  l’énergie et au développement du secteur de l’électrification rurale en Cote d’Ivoire.

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Objectif: 1- Promouvoir l’énergie solaire PV à base de mini-réseaux

afin d’accroitre le taux d’accès à l’électricité des ménages ruraux et péri-urbains et le remplacement   des énergies fossiles
                 2- Promouvoir de l’énergie renouvelable.

OMO: 1et8
Priorité thématique: Changement Climatique; Énergie renouvelable
Donateurs: Fonds Mondial de l’Environnement (FEM), Gouvernement de la Côte d’Ivoire
Partenaire: Ministère des Mines, du Pétrole et de l’énergie

Budget:$ 4,740,961
Statut du projet: en cours
Durée: 2012 – 201s

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